Quel souvenir avez-vous des Jeux du Québec? Et des Jeux Olympiques de 1976?
«Je suis originaire de France et chez nous les régions n’ont pas cette importance. Les Jeux du Québec c’est un peu une colonie de vacances avec du sport. Les jeunes s’amusent beaucoup.»
Damien, 27 ans.
«En 1976, la performance de Nadia Comaneci avec son 10. On en parlait à la radio, la télé. Une petite puce avec une performance précise. C’était une 1ère au niveau de la perfection. À cette époque, je travaillais au remplacement des lentilles d’athlètes pour Jeux Olympiques. Et cette année, je suis à la sécurité des Jeux du Québec.»
Ghislaine, 61 ans.
«C’est ma première fois aux Jeux du Québec, je suis là car ma fille y participe. Mon père était dans la construction et il a participé à la création du Stade Olympique pour les Jeux Olympiques de 1976.»
Josée, 51 ans.
«Je fais partie de l’équipe d’événementiel et l’ambiance est vraiment cool. C’est la 1ère fois que je vais aux Jeux et c’est vraiment grandiose avec l’immense stade, les aménagements et surtout le show d’ouverture. C’est bien pour ces jeunes, ils viennent en équipe et doivent se sentir un peu comme des vedettes.»
Vincent, 19 ans.
«Personnellement, je ne suis pas les Jeux du Québec. Mais mon fils les suit beaucoup. Tous ses amis y participent.»
Carla, 39 ans.
«Je viens de la Capitale-Nationale et je fais du vélo sur route. Ce sont mes 1er Jeux et c’est exceptionnel. C’est tellement le fun!»
Vincent, 15 ans.
«Il y a 6 ans mon fils a fait la compétition en cyclisme et il a gagné l’argent. J’étais si fier!Je viens de Suisse et j’ai pratiqué le cyclisme plus jeune et fait quelques courses. Mais il n’y a pas de concept tel que les Jeux du Québec. Par dévouement pour cette discipline, je me suis engagé comme répondant / accompagnateur régional pour les jeunes et je me suis promis de ramasser 2 médailles à chaque Jeux. J’en suis à mes 3ème et j’ai tenu ma promesse.»
Roger, 53 ans.
«Je fais partie de l’équipe de missionnaires / encadrement et ce sont mes 3ème Jeux. C’est vraiment une expérience hors de l’ordinaire à vivre. C’est un privilège car c’est réservé aux athlètes d’un certain niveau. Il y a un grand sentiment d’appartenance à la région.»
Philippe, 28 ans.
«La flamme olympique à l’ouverture des Jeux Olympiques de 1976 m’a marqué. J’étais venu avec mes parents et je trouvais cela impressionnant de voir la flamme portée jusqu’à son flambeau.»
Robert, 46 ans.
«Lors de la compétition de cyclisme de lundi, ma chaîne a brisé et j’ai fait une chute qui m’a causé une commotion cérébrale. Mais même si j’avais mes chances de remporter la médaille d’or, le positif est que je n’aurai pas à courser les 60 km de demain [rires].»
Éric, 15 ans.
«Je n’ai pas pu les faire quand j’étais plus jeune et j’aurai dû. Je le regrette maintenant. Je faisais du cyclisme à ce moment-là. Ce qui est bien est que ce n’est pas juste du sport, c’est aussi un esprit d’équipe. Cette année, j’y suis comme entraineuse.»
Mégane, 19 ans.
«Je fais partie du comité organisateur pour les Jeux d’hiver de 2017. C’est vraiment beau tout ce que vivent ces jeunes. Pour ma part, j’ai fait les Jeux du Québec en athlétisme en 1978, mais je n’étais pas conscient de tout. J’aime voir le sourire et la souffrance dans l’effort de ces jeunes.»
Réjean, 59 ans.
«J’ai déjà participé aux Jeux du Québec en patinage artistique. Ce sont de bons souvenirs. C’est une bonne chose car on rencontre des jeunes de tout le Québec et on pratique notre activité physique, même si c’est plus difficile. J’aime l’esprit fort pour chaque région.»
Marie-Ève, 23 ans.
«J’ai fait les Jeux du Québec en 2001 à Rimouski en Judo. Je me rappelle que c’était vraiment le fun, j’ai eu la médaille d’or en individuel et la bronze en équipe. On était une bonne équipe. Mais c’était surtout la première fois que je dormais hors de chez mes parents. Aujourd’hui, je reviens au Jeux mais en tant que journaliste pour RDS. C’est vraiment le fun et le village aux athlètes est toujours aussi bien.»
Marie-Pierre, 29 ans.