Par Colin McGregor | Dossiers Culture
Chaque année, lorsqu’il n’y a pas de neige au sol, une trentaine de poètes québécois se rassemblent quelques jours dans le bois à Gaspé. Des jeunes et des moins jeunes s’y isolent pour y faire une retraite poétique.
Aucune publicité ne promeut l’événement. Campoétik a été mis sur pied par un gardien de la poésie québécoise qui semble avoir tiré son nom des œuvres de J.R.R. Tolkien, le dénommé Bilbo Cyr. Ses invités sont là pour le seul plaisir de créer, inspirés et protégés par le boisé gaspésien.
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