La caméra ajoute « 10 livres »
En plus d’être parfaitement grimées, peignées et vêtues, celles qui travaillent devant les caméras doivent aussi être minces pour éblouir à l’écran. Un lieu commun répandu veut que la caméra ajoute « 10 livres », présentant ainsi une image déformée des professionnelles de la télévision qui s’avèrent déjà élancées. Ce qui a pour résultat de renvoyer un idéal de minceur inatteignable aux téléspectatrices déjà intimidées par les images de femmes minces véhiculées par d’autres médias centrés sur l’image], ceux-ci présentant des personnalités féminines affichant des proportions irréalistes.
Par Anders Turgeon – Dossier Médias
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