Pas facile, nécessairement, de diriger un journal communautaire de nos jours. Il y a la concurrence du web; la transformation des villages à mesure que la vieille garde vend leurs maisons et que de nouvelles personnes arrivent ; le vieillissement des bénévoles qui travaillent sur les textes et la publicité; le coût montant des matériels…
En plus de tout cela, il y a aussi des tensions avec des politiciens sur lesquels ils doivent écrire. Quelles pressions les journaux locaux subissent-ils des conseils municipaux locaux ? Risquent-ils de devoir fermer leurs portes si un conseil municipal est agacé par ce qu’ils ont à dire ?
Selon Yvan Noé Girouard, directeur général de L’Association des médias écrits communautaires du Québec (l’AMECQ), ça se produit. Une façon pour y arriver est que la municipalité lance son propre journal.
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