Je ne veux pas vous coloniser comme l’oncle Sam dans un dédale de fibre optique duquel on peut contourner la génétique. Les aspirants au trône peuvent l’épier par un drone, c’est par le crédit qu’on te dit crédible pourtant c’est par la critique que les gens se discréditent, la vie ne fait pas de cadeau donc on ne profite du présent. L’énergie se vend en boisson et la réalité est virtuelle, régression par la répression communément collée à nous comme un aimant. Le hasard est devinable et le destin est contournable, ta carte du ciel est jouable et chaque nœud est dénouable. Tu peux devenir marchand d’armes et violer la Magna Carta avec le fruit de Garda. La conjoncture brille par l’absence de législation des antécédents, ici on classifie au registre mais là-bas ils ne sont pas pressés tant que les sénateurs sont graissés. Crise constitutionnelle parl’opium du peuple, les pays d’en haut vendent un idéal d’autarcie malgré que même la liberté est taxée, 1.6$ milliard avant la fiscalité. Tous enrôlés dans l’état de siège parce que chacun veut sa place, un crime contre l’humanité dégueulasse qui mériterait une ère de glace. Je ne suis pas meilleur que toi, j’attends la fin du film pour bouger comme tout Québécois, par peur du succès. Confédération accueillante en terme de migrants tant qu’à être dénigrant, désolé de ne pas faire partie des zélés qui se proclament fiers d’isolé. Ghettoïsation redéfinit l’infériorité, je pourrais craindre l’intégriste mais j’ai plus peur de Donald Trump. Les combines ne sont pas strictement hivernales et les systèmes dépressionnaires ne sont plus exclusifs à la température, détachement démographique et obsèques de politiques démocratiques. Les mineurs font des majeurs et les adultes c’est de l’enfantillage, on te descend si tu montes et des proches s’éloignent. Flexible mais non malléable comme un coup de vent balayable, mourir pour ma raison de vivre.