Jusqu’à l’atteinte de l’attribut, j’écris pour tous peu importe la teinte de la tribu. L’aveu est que je l’affère, je la veux l’affaire pour la vie, la lutte je vais la faire sans l’avis de la reine pour embarquer dans l’arène. Je passe par la cheminée en latitude pour l’acheminer avec l’attitude, mon aise je la prouve et je l’approuve. Ma cible je n’ai pas besoin de la voir pour la viser, je peux l’avoir sans l’aviser. L’arnaque de la trappe je la donne et l’attrape je l’adonne, je l’abonne à la bonne. La vallée je peux l’avaler, harcèle-moi et je vais rendre la pareille en te réveillant tel le vendeur de l’appareil, répond à l’appel par la pelle. Ma province je pourrais la servir mais la masse l’asservir à partir de l’avenue qui attend le moins la venue, sois tu l’attends l’ajout ou tu la tends la joue. Je la touche, la loue, l’attouche puis on l’alloue pour qu’on lui repose un lapin, l’accole et sa fierté elle la peint avec de la colle. Ma place je dois la prendre et ça tu vas l’apprendre, l’expertise je la prête et le parfait je l’apprête. La mine je lamine et tu l’acquittes avant que je la quitte, la limite l’affranchi la franchie. Le côté givré tu vas l’aborder et ta dulcinée je suis venu pour la border, la graver puis l’aggraver. Malgré la pesanteur, l’apesanteur je la pèse et chaque douleur je l’apaise, l’averse peut l’arroser et l’arranger sauf si je passe et pisse dans la rangée et la verse comme la rosée, je l’accrois sur la croix. L’asymétrie est la muse et la symétrie l’amuse, la vache l’attraie donc il la trait. J’ai mis la main à la pâte sans l’apparenter et quand-même je l’appâte, la parenté. Extensible comme l’accrue, merci à toi qui l’a cru que ma poésie est la crue et si t’as lu pire là bas, montre-moi et je la bats, vêtu d’un djellaba je l’abats. Mon âme ou existence je peux la vouer à la quérir, l’avouer que je veux l’acquérir car c’est là, justement que la reconnaissance l’accompagne, l’ajustement est la compagne.
L’atout je l’agrippe comme la toux lors de la grippe, la pilule je la dore pour que mes lecteurs l’adorent et je la signe sur la ligne sans que personne ne l’assigne dès qu’elle ou il l’aligne. Ta curiosité je l’attire quand ta présence je la tiraille donc je la tire avec l’attirail, je l’affaisse à la fesse avant qu’ils la baissent, qu’on l’abaisse. Même si quelqu’un trouve que cette écriture est la moche, la sûre ou la croche, ça fera dur si je l’amoche car je l’assure que je l’accroche, aux autres je la vends de l’avant. J’aime l’accueil quand elle la cueille, qu’elle même l’habille pour ne pas que je l’accouche et se roule la bille pour que je la couche, je l’apporte à la porte. Je l’accommode sur la commode avant l’alarme de la larme, la version de l’aversion, je suis la croc de l’addiction mais elle était l’accroc de la diction. La traction je la somme, la cumule et l’attraction, quand je l’assomme, je l’accumule. Le peuple je l’accorde et l’accote avec des clichés usés à la corde telle la bourse je la cote, l’affiche je l’attache et la fiche ça la tache, je vais l’ajourner la journée. Je suis l’Arès de l’arrhes ou l’acompte car la mythologie c’est moi qui la conte. Si t’es l’avide, l’acide je la vide par maladresse en t’invitant à l’adresse où la gloire je la dresse, elle aime que la bite l’habite donc je l’amène et je la mène, amen. Je prône l’arrêt de l’avarice, eux se tâtent la raie et se camouflent la varice. Pour la taquer, ta tombe je vais la chever et ton squelette l’attaquer pour l’achever. J’ai payé l’allocation pour la location, au-dessus-de la locution était l’allocution. La base je la câble car je peux être l’affable autant que celui qui l’accable, la fable. Je m’occupe de la serre sans l’approbation donc on me lacère avec la probation. Ma voiture je la teins et la toiture je l’atteins, la diversité il faut l’assortir à la scie pour publier et la sortir sans laisse comme Lassie et qu’on l’affirme dans la firme.