Par Colin McGregor | Dossier Économie familiale
Une étude de l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques (IRIS) confirme que seulement 12 % des enfants du primaire au pays bénéficient d’un programme d’alimentation scolaire, contre 61 % dans la moyenne des pays à revenu élevé. Pendant ce temps, plus d’un enfant sur cinq au Québec vit une forme d’insécurité alimentaire, soit plus de 200 000 élèves du réseau scolaire public.
Les membres du Chantier pour un programme d’alimentation scolaire universel au Québec (PASUQ) sont préoccupés par ces données.
« Nous pouvons et devons en faire beaucoup plus pour offrir à nos enfants des repas sains et abordables dans toutes nos écoles publiques. Un programme d’alimentation scolaire universel aurait des impacts bénéfiques majeurs en matière de santé publique, de réduction des inégalités sociales, de réussite éducative, d’économie et d’environnement, en plus d’alléger significativement la charge mentale des parents », souligne la coordonnatrice Maëlle Brouillette.
« Le repas du dîner est très important pour aider les enfants à répondre à leurs besoins nutritionnels », déclare Alison Eldridge, co-autrice de l’étude du Centre de recherche Nestlé à Lausanne, en Suisse.
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