Par l’Équipe de Reflet de Société | Dossier Culture
À 13 ans, certains rêvent de devenir astronautes ou joueurs de hockey. Xavier Lalou, lui, rêvait de peindre des murs. « J’avais envie de devenir un artiste graffiteur », se souvient-il. Ce rêve, qui aurait pu paraître prématuré ou marginal à la fin des années 1990, a été pris au sérieux. Non pas sans inquiétude maternelle. « Ma mère était inquiète par l’idée. Donc, elle a appelé la Ville de Montréal qui l’a conseillée de se diriger vers le Café Graffiti. »
Le Café Graffiti, lieu emblématique de l’expression urbaine montréalaise, servira alors de tremplin à celui qui deviendra plus tard tatoueur professionnel, artiste peintre et conférencier. Ce lieu communautaire offrait, et offre toujours, aux jeunes, une plateforme où s’exprimer et apprendre dans un cadre sécurisant, tout en valorisant leur talent.
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