L’aide sociale : Un cauchemar bureaucratique

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Par Colin McGregor | Dossier Économie et Communautaire   

« Demander de l’aide sociale, c’est gênant. Personne ne choisit l’aide sociale. »

Lise, aujourd’hui 72 ans, se souvient de la première fois où elle a dû faire une demande d’aide sociale après 23 ans de travail. « Je suis tombée malade », se souvient-elle en grimaçant.

L’aide sociale est une aide financière de derniers recours. L’aide sociale paye 9 600 $ quand le seuil de pauvreté est à 27 000 $ par année. 

« Sur l’aide sociale, » nous dit Lanouse, une bénévole aux bureaux de l’Organisation populaire des droits sociaux (OPDS), « j’ai fait beaucoup de bénévolat pour le cacher. On se demande : pourquoi moi ? On est jugé par nos voisins et nos familles. »

Depuis 1980, l’OPDS, a ses bureaux dans le quartier d’Hochelaga-Maisonneuve. Elle traite des cas de personnes qui souffrent des déboires d’un système qui est de moins en moins accessible. Les gens de l’OPDS tentent de combattre la stigmatisation entourant l’aide sociale. Ils mènent un programme d’action pour faire évoluer la loi.

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illustration Klervia Martel


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