Un texte de Hashem Ali | Dossier Culture
Un Israélien mort
Une tragédie a dit
Allumez l’actualité pour être nourri
La propagande menée
Par un mal dans leur tête
Parce qu’un Pali a été tué
Est-ce une statistique à divulguer
Vers un monde trop malade
Reconnaître et concevoir ce qu’ils ont d’abord prophétisé comme un génocide
Se répéter dans le temps
Pourtant, on regarde toujours le crime
Se déroule sous leurs yeux
Ça me rend malade à l’intérieur
De voir ces massacres couverts de mensonges
Des hypocrites déguisés
Pourtant, aussi clair soit-il
c’est vague
Aussi cher et sincère soit-il le cri pour mettre fin à un massacre
Vous voyez toujours des éclaboussures de tripes sur l’écran
Pour ce drapeau, le noir, le rouge et le vert
Des enfants innocents sur les lieux
Tués pour rien
Seulement pour être rappelés et pleurés dans des mosquées à moitié bombardées qui ont été prises d’assaut par les mêmes troupes qui ont assassiné et méprisé votre femme, votre fille et votre nouveau-né, puis ils vous demandent de rechercher la paix pendant qu’ils bombardent votre maison, votre pays et votre ferme, le génocide continu.
Et nous pouvons crier après nos soi-disant dirigeants
Marcher avec des panneaux hauts de mille mètres
Chanter ensemble en tant qu’un seul orateur public
Mais ils n’entendront pas
Et s’ils entendent, ils n’écouteront pas
Et une fois qu’ils en auront tenu compte, ils s’y opposeront
Ensuite, les plus innocents d’entre eux deviennent généralement les ennemis ciblés.
Nous laissant une option…
Celui qui semble critique dans l’adoption, mais futile dans l’exécution
Celui qui appelle tout homme en cage aspirant à la liberté
Et chaque pauvre affamé de pain
Tous ceux qui sont injustement opprimés
Levez-vous et contestez pour libérer la colère intérieure réprimée
Et donc, révoltez
Et voilà, le piège s’ensuit
parce qu’après que les gens ont payé leur dû
Que ce soit dans le sang, la sueur ou des querelles vicieuses
Un nouveau soi-disant « leader » trouvera sa réplique
Et s’assoit sur la même chaise pour nous gouverner toi et moi
Laissant une dernière option
Une humanité a si peu d’expérience qu’elle en a peur
Et tue rapidement ceux qui l’apprécient
Cette idée n’a ni structure ni guide
Il n’est pas limité par les limites que nous suivons
Ce n’est pas clairement défini
Ça change toujours avec la marée
Cette idée n’est qu’une idée parmi aucune
Une théorie sans concept
Une contradiction paradoxale
Ce qui dans l’esprit reste une fiction
Mais dans le cœur devient une mission
Celui qui vous pousse à affronter vos peurs
Et peut paraître dur, mais toujours sincère
Et vous choisissez de l’aborder avec une acclamation ou une larme
Parce que nous, les humains, pouvons aller au-delà des hauteurs des cieux, oui tous les sept
Ou jusqu’aux profondeurs sombres de l’enfer
Écoutez simplement les nouvelles et vous pourrez le dire
Jusqu’où certains d’entre nous sont tombés
Et c’est un défi pour briser le charme
Et repousser toute illusion
Devenir une grâce à la fusion
Avec l’absolution divine
Et réalise que tout cela est
Tout ce que vous êtes
Et tout ce que je suis
Est UN
ORIGINAL VERSION
One Israeli dead
One tragedy said
Turn on the news to be fed
The propaganda that is led
By some evil in their head
Cuz one Pali killed
Is a statistic to be spilled
To a world that is too ill
To recognize, and devise what they first prophesied as genocide
Repeating itself in time
Yet still watching the crime
Unfold before their eyes
Makes me sick to my insides
To see these massacres covered in lies
Hypocrites in disguise
Yet no matter how clear
It’s unclear
No matter how dear and sincere is the cry to halt a massacre
You still see guts splatter on the screen
For that flag, the black red and green
Innocent children in the scene
Killed for no mean
Only to be remembered and mourned in half bombed mosques that were stormed by the same troops that murdered and scorned your wife daughter and newborn, and then they ask you to seek peace while they bomb your house country and farm, the genocide goes one.
And we may scream at our so called leaders
March with signs high a thousand meters
Chanting together as one public speaker
But they will not hear
And if they hear, they will not heed
And once they heed, they will oppose
Then usually the most innocent of those become the targeted foes
Leaving us an option…
One that seems critical in adoption but futile in execution
One that calls to every caged man longing for freedom
And every poor person starving for bread
All the unjustly oppressed
Rise and contest to release the inner anger repressed
And so revolt
And here the trap ensues
because after the people have paid their dues
Be it in blood, sweat or vicious feuds
A new so called “leader” will find their cue
And sit at the same chair to rule me and you
Leaving one last option
One humanity has such little experience with that it fears it
And quickly kills those who endear it
This idea has no structure or guide
It is not bound by the limits along which we stride
It is not clearly defined
It always changes with the tide
This idea, is one of no ideas
A theory without a concept
A paradoxical contradiction
Which in the mind remains a fiction
But in the heart becomes a mission
One that pushes you to face your fears
And can seem rough but always sincere
And you choose to approach it with either a cheer or a tear
Cuz we humans can go beyond the heights of heaven, yes all seven
Or down to the dark depths of hell
Just turn on the news and you can tell
How far some of use have fell
And this is a challenge to break the spell
And repel all illusion
Become one through fusion
With divine absolution
And realize that all that is
All that you are
And all that I am
Is one
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